* le futur.e agriculteur ou la future agricultrice porte un projet agroécologique aligné avec la charte agroécologique de FEVE, portant en particulier une volonté de (i) production biologique, (ii) travail minimal du sol, (iii) développement de circuits de commercialisation en vente directe. Il s’engage sur cette charte au moment de son installation.
* il ou elle souhaite être accompagné·e dans son projet d’installation sur les aspects juridiques, économiques, techniques ainsi que sur les circuits de commercialisation (étude de marché). Le porteur de projet est libre de choisir la structure d’accompagnement de son choix.
* son prévisionnel économique témoigne d’une capacité à se verser un salaire équivalent à1,5 SMIC à horizon 4 ans
* il ou elle est intéressé·e pour louer le foncier dans un premier temps et intéressé·e pour un rachat ensuite. A ce titre, nous demandons une participation à hauteur de 2,5% dans la société qui détient le foncier. Cela permet aux porteurs de projet d’être impliqué dès le début dans les décisions prises sur le foncier.
* Si mise en place de collaboration sur la ferme, il ou elle souhaite être accompagné·e sur les enjeux humains liés à ce mode d’installation
Aussi, nous privilégierons des projets portés par des porteurs de projet ayant la capacité agricole, avec plusieurs années d’expérience pratique sur une ou des fermes. Il ne s’agit néanmoins pas de critère de disqualification.
Un ancrage préalable sur le territoire ainsi qu’un apport financier initial seront également considéré comme des plus.
Le projet, dans son ensemble sur la ferme, doit avoir une vocation alimentaire.