Simon a 32 ans et il a toujours voulu être agriculteur. Fils et petit-fils d’agriculteurs, il a grandi à la ferme et s’y sentait à sa place. Après des études agricoles, il a profité de 4 ans et demi à l’étranger pour découvrir l’agriculture au 4 coins du monde.
Aujourd’hui, il pose ses valises dans la Ferme de Coutemillière en Mayenne. Une ferme de 50 hectares qu’il souhaite diversifier et convertir en BIO.
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J’ai grandi juste à côté de la ferme de Coutemillière, je suis fils et petits-fils d'agriculteur. J'ai souvent aidé mes parents sur la ferme familiale, mon père était producteur laitier avec des Jersiaises. Il est parti à la retraite à la fin de mes études, mais je n’étais pas prêt à reprendre. J’ai fait un DUT Génie-Biologique option Agronomie à Angers, puis une licence professionnelle Agricuture Durabilité et Nouvelles Technologies à Dijon.
J'ai toujours voulu être agriculteur, mais j'avais aussi une curiosité profonde pour le monde. Après mes études, j'ai décidé de partir en voyage sur le thème de l’agriculture. J'ai passé 4 ans et demi à l'étranger à travailler en woofing ou à visiter des fermes partout où je passais. J’ai découvert différentes formes d’agricultures en Europe de l'Est, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Asie du Sud-Est. Ça m’a ouvert l’esprit ! On s’aperçoit qu’il y a parfois des solutions systémiques au bon fonctionnement des fermes qu’on devrait appliquer en France. Ça nous pousse à faire preuve d'humilité et à considérer certaines techniques qu’on pourrait adopter.
Je savais que cette ferme était à vendre mais le prix était trop élevé et je n’avais pas de formation d’arboriculteur. J’ai donc commencé à travailler sur la Ferme de Coutemillière pour la taille, pour la récolte et pour voir comment fonctionnait le système d’irrigation... J’essayais de prendre le maximum d’informations auprès du cédant. En parallèle, pour gagner en expérience, j’ai travaillé dans d’autres vergers qui faisaient des pommes (dans le coin, il n’y avait pas trop le choix). Je considérais que j’allais quand même apprendre beaucoup de choses sur la conduite d’un verger même si ce n’était pas le même fruit. En amont de la reprise de cette ferme, j’avais essayé de monter un collectif mais ça n’a pas fonctionné. Former un collectif avant d’avoir un lieu, c’est compliqué. Je trouve que travailler ensemble facilite le fait de se connaître et de savoir avec qui ça va marcher ou non. J’ai donc décidé de faire la reprise seul d’abord et pourquoi pas chercher des associés après. J’avais sollicité Terre de liens et FEVE pour financer le projet car la banque m’a clairement dit qu’elle ne pourrait pas suivre si je devais tout financer moi-même. Finalement sur mon projet, la banque m’accompagne sur le rachat du matériel et sur les investissements pour l’atelier de transformation et FEVE sur le foncier.
J’ai eu un premier contact quand j’étais avec le collectif, puis je suis revenu vers FEVE quand j’ai décidé de reprendre tout seul et ça s’est très bien passé. J’ai envoyé mes chiffrages et ça a été validé très très rapidement. J’ai beaucoup apprécié cette réactivité à toutes les étapes de validation. J’ai envie de remercier les équipes de la rapidité et de la réactivité avec laquelle on a pu agir parce que sans FEVE, je n’en serais pas là. Concernant l’option d’achat proposée par FEVE, pour moi, ce n’est pas un objectif en soit d’être propriétaire mais si j’en suis capable, je rachèterai pour remettre de l’argent dans la boucle vertueuse et que ça permette de financer de nouvelles installations. Quant à la charte agroécologique, je la trouve cohérente et facile à suivre car elle colle au type d’agriculture que j’avais envie de faire. Sur l’exploitation, il y a déjà des haies, un bois, une zone humide, on veut préserver et développer les environnements naturels et le faire sur le long terme. On recherche à être autonome en eau sur l’exploitation et FEVE nous aide à discuter avec un organisme qui nous accompagne dans cet objectif très ambitieux.
J’ai grandi juste à côté de la ferme de Coutemillière, je suis fils et petits-fils d'agriculteur. J'ai souvent aidé mes parents sur la ferme familiale, mon père était producteur laitier avec des Jersiaises. Il est parti à la retraite à la fin de mes études, mais je n’étais pas prêt à reprendre. J’ai fait un DUT Génie-Biologique option Agronomie à Angers, puis une licence professionnelle Agricuture Durabilité et Nouvelles Technologies à Dijon.
J'ai toujours voulu être agriculteur, mais j'avais aussi une curiosité profonde pour le monde. Après mes études, j'ai décidé de partir en voyage sur le thème de l’agriculture. J'ai passé 4 ans et demi à l'étranger à travailler en woofing ou à visiter des fermes partout où je passais. J’ai découvert différentes formes d’agricultures en Europe de l'Est, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Asie du Sud-Est. Ça m’a ouvert l’esprit ! On s’aperçoit qu’il y a parfois des solutions systémiques au bon fonctionnement des fermes qu’on devrait appliquer en France. Ça nous pousse à faire preuve d'humilité et à considérer certaines techniques qu’on pourrait adopter.
Je savais que cette ferme était à vendre mais le prix était trop élevé et je n’avais pas de formation d’arboriculteur. J’ai donc commencé à travailler sur la Ferme de Coutemillière pour la taille, pour la récolte et pour voir comment fonctionnait le système d’irrigation... J’essayais de prendre le maximum d’informations auprès du cédant. En parallèle, pour gagner en expérience, j’ai travaillé dans d’autres vergers qui faisaient des pommes (dans le coin, il n’y avait pas trop le choix). Je considérais que j’allais quand même apprendre beaucoup de choses sur la conduite d’un verger même si ce n’était pas le même fruit. En amont de la reprise de cette ferme, j’avais essayé de monter un collectif mais ça n’a pas fonctionné. Former un collectif avant d’avoir un lieu, c’est compliqué. Je trouve que travailler ensemble facilite le fait de se connaître et de savoir avec qui ça va marcher ou non. J’ai donc décidé de faire la reprise seul d’abord et pourquoi pas chercher des associés après. J’avais sollicité Terre de liens et FEVE pour financer le projet car la banque m’a clairement dit qu’elle ne pourrait pas suivre si je devais tout financer moi-même. Finalement sur mon projet, la banque m’accompagne sur le rachat du matériel et sur les investissements pour l’atelier de transformation et FEVE sur le foncier.
J’ai eu un premier contact quand j’étais avec le collectif, puis je suis revenu vers FEVE quand j’ai décidé de reprendre tout seul et ça s’est très bien passé. J’ai envoyé mes chiffrages et ça a été validé très très rapidement. J’ai beaucoup apprécié cette réactivité à toutes les étapes de validation. J’ai envie de remercier les équipes de la rapidité et de la réactivité avec laquelle on a pu agir parce que sans FEVE, je n’en serais pas là. Concernant l’option d’achat proposée par FEVE, pour moi, ce n’est pas un objectif en soit d’être propriétaire mais si j’en suis capable, je rachèterai pour remettre de l’argent dans la boucle vertueuse et que ça permette de financer de nouvelles installations. Quant à la charte agroécologique, je la trouve cohérente et facile à suivre car elle colle au type d’agriculture que j’avais envie de faire. Sur l’exploitation, il y a déjà des haies, un bois, une zone humide, on veut préserver et développer les environnements naturels et le faire sur le long terme. On recherche à être autonome en eau sur l’exploitation et FEVE nous aide à discuter avec un organisme qui nous accompagne dans cet objectif très ambitieux.
C'était la ferme de Pascal, mon père et parmi mes trois sœurs et moi, aucun de nous ne pouvait reprendre l’exploitation. Pendant 2 ans, nous avons cherché des repreneurs et nous avons eu plusieurs propositions de rachat. Certaines ne nous paraissaient pas très sérieuses ou d'autres n’allaient pas vraiment dans le sens qu’on voulait. On avait des agriculteurs qui voulaient faire complètement autre chose ou des gens qui souhaitaient en faire une résidence secondaire. On ne voulait pas que la vente fasse table rase du passé, on voulait au contraire que quelqu’un puisse développer les activités déjà installées.
Simon était venu se présenter à la base avec un collectif, puis finalement ça n’a pas fonctionné et il a souhaité relever le défi de reprendre seul. Nous, ça nous séduisait que ce soit un jeune qui puisse reprendre pour continuer et améliorer ce qu’avait fait mon père. Simon, c’est le fils d’un agriculteur voisin, son projet avait l’air sérieux, durable, il l’avait bien construit. Ce n’était pas quelqu’un qui arrivait pour se mettre au vert. Il a de l’expérience et il connaît bien la région, le climat, etc.
On a été favorable au projet et le fait qu’il y ait une charte d’agroécologique ça nous plaisait encore plus. On avait envie de voir s’installer une agriculture plus respectueuse de l’environnement. Simon a sollicité FEVE pour le financement et ça a été très rapide. FEVE avait déjà les fonds et donc on n’a pas eu besoin d'attendre. Nous avons donné notre accord et en 3-4 mois la ferme a pu être reprise avec un projet qui nous plaisait.
On a trouvé que FEVE c’était une très bonne idée pour éviter que les fermes ne tombent en désuétude et que les jeunes puissent s’installer. On est content que le travail de notre père puisse être transmis à Simon
J’ai investi car les aspects de crédibilité agricole, technique et financière ont été bien analysés par FEVE et sans cet appui je n’aurais pas pu et su faire. Grâce à çà, il ne me restait que la partie “plaisir” d’un tel investissement : découvrir le projet, voir s’il a du sens pour moi, s’il me parle et si j’ai envie d’en parler
Thibault G.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2021
# J’ai participé à un apéro FEVE, bien qu’appréhendant un peu une soirée investisseurs… Je me disais: ”il ne va y avoir que des banquiers en cravate”, et bien non… Quelle agréable surprise de voir la présence d’agriculteurs (des vrais en chair et en os, pas seulement des graphiques sur un powerpoint). Et puis des conseillers en gestions de patrimoine mais aussi de petits investisseurs avec des paroles simples mais vraies : « Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. »
Christophe B.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023
En 2027, FEVE va convertir chaque année la surface de Paris ! On a besoin de vous pour rejoindre l’aventure. Chaque euro compte. Chaque m2 compte.
Thierry R.
Depuis 2023