Après avoir passé des années à étudier les fourmis, Kévin Berthelot a décidé de se plonger dans un nouveau défi : le maraîchage ! Aujourd'hui, il reprend les rênes de la ferme du Verdier dans laquelle il a travaillé en tant que salarié. Il veut perpétuer un système bien rodé et performant. Et cerise sur le gâteau, la cédante sera à ses côtés pendant un an pour partager son expertise !
J'ai entamé ma reconversion vers le maraîchage au début de l'année 2020. À l'origine, j’étais chercheur en biologie et j’ai mené des travaux sur le comportement des fourmis. Après mon doctorat, j’ai fait un postdoctorat de deux ans aux États-Unis. C’est pendant cette période que j’ai commencé à réfléchir sérieusement à changer de métier. Même si la recherche m’a beaucoup apporté, j’avais envie de passer à quelque chose de plus concret, de plus tangible. La recherche peut parfois être assez abstraite, et on ne voit pas toujours de résultat immédiat. J’avais envie de faire un métier plus manuel, où je pouvais produire quelque chose de concret. J’hésitais entre la menuiserie, un domaine qui m'a toujours intéressé, et le maraîchage. Finalement, c’est vers le maraîchage que je me suis orienté.
Comment as-tu trouvé la ferme dans laquelle tu t'es installé ?
Je cherchais une installation qui corresponde à mes besoins et à mon projet commun avec ma compagne, car nous voulions des terres ensemble. Comme le processus prenait du temps, j'ai décidé de chercher un emploi salarié en attendant, et c'est là que j'ai découvert l'opportunité sur l'exploitation actuelle. Je ne savais pas que l’exploitation serait à reprendre, mais lors de mon entretien d'embauche, on m’en a informé. Cette idée a mûri petit à petit, et c’est ainsi que j’ai envisagé de reprendre l’exploitation.
Ce qui est chouette avec FEVE, c’est qu’il y a la possibilité de devenir propriétaire. Ce qui, je pense, est le désir de pas mal de personnes. C’est aussi intéressant d'être financé par des citoyens.
Nous à la base on a des convictions, on veut essayer de faire les choses du mieux possible. Mais avec les contraintes économiques, il arrive parfois que nous devions faire des choix qui ne vont pas forcément dans le bon sens. Le fait d'avoir une charte, ça nous oblige à trouver des solutions. Ça nous pousse à ne pas repousser les projets et à les réfléchir dès le départ, même si cela demande du temps !
J'ai entamé ma reconversion vers le maraîchage au début de l'année 2020. À l'origine, j’étais chercheur en biologie et j’ai mené des travaux sur le comportement des fourmis. Après mon doctorat, j’ai fait un postdoctorat de deux ans aux États-Unis. C’est pendant cette période que j’ai commencé à réfléchir sérieusement à changer de métier. Même si la recherche m’a beaucoup apporté, j’avais envie de passer à quelque chose de plus concret, de plus tangible. La recherche peut parfois être assez abstraite, et on ne voit pas toujours de résultat immédiat. J’avais envie de faire un métier plus manuel, où je pouvais produire quelque chose de concret. J’hésitais entre la menuiserie, un domaine qui m'a toujours intéressé, et le maraîchage. Finalement, c’est vers le maraîchage que je me suis orienté.
Comment as-tu trouvé la ferme dans laquelle tu t'es installé ?
Je cherchais une installation qui corresponde à mes besoins et à mon projet commun avec ma compagne, car nous voulions des terres ensemble. Comme le processus prenait du temps, j'ai décidé de chercher un emploi salarié en attendant, et c'est là que j'ai découvert l'opportunité sur l'exploitation actuelle. Je ne savais pas que l’exploitation serait à reprendre, mais lors de mon entretien d'embauche, on m’en a informé. Cette idée a mûri petit à petit, et c’est ainsi que j’ai envisagé de reprendre l’exploitation.
Ce qui est chouette avec FEVE, c’est qu’il y a la possibilité de devenir propriétaire. Ce qui, je pense, est le désir de pas mal de personnes. C’est aussi intéressant d'être financé par des citoyens.
Nous à la base on a des convictions, on veut essayer de faire les choses du mieux possible. Mais avec les contraintes économiques, il arrive parfois que nous devions faire des choix qui ne vont pas forcément dans le bon sens. Le fait d'avoir une charte, ça nous oblige à trouver des solutions. Ça nous pousse à ne pas repousser les projets et à les réfléchir dès le départ, même si cela demande du temps !
C'est ma petite pierre à l'édifice. Je l'ai fait comme un acte "militant", pas comme un placement financier. Le projet me parlait, j'ai investi le minimum. Parce que je n'avais pas forcément la ressource pour aller au delà. Mais j'aimerais renouveler dès que possible…
Pauline G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2022
Très heureuse de contribuer à l’aide financière pour que des projets aboutissent. Ils portent une nouvelle vision de l’agriculture de demain, ils partagent les mêmes valeurs du vivant et de la protection de l’environnement, du bien être animal et de la force de la nature. Des exemples à suivre et à multiplier partout en France.
Blandine G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2021
Enfin l’impression d’agir efficacement pour la planète et la santé du vivant. Bravo pour votre engagement. Beaucoup de fierté à accompagner des plus jeunes sur ce chemin. En tant que médecin je suis convaincu aujourd’hui que ce sont des actions liées au bien manger et à l’environnement qui ont un vrai rôle de prévention pour notre santé.
Richart F.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023