La Ferme de Pérouti

La Ferme de Pérouti prend vie avec David et Lorraine. Juriste et infirmière de formation, ils ont décidé de se reconvertir dans l’agriculture. Une installation réfléchie et progressive pour développer cette ferme en grandes cultures avec des semences anciennes et beaucoup de diversification. D’abord en location, David a sollicité la foncière pour acquérir les terres, pérenniser leur exploitation et permettre l’installation de Lorraine.

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Département
Dans le Lot-et-Garonne, en Nouvelle-Aquitaine
Surface
157 hectares décomposés en plusieurs îlots de terre
Pratique agricole
Conversion en bio, grande variété de céréales, couverts végétaux
Ateliers
Polycultures avec animaux élevés en plein air, atelier paysan-boulanger
Pourquoi FEVE a investi ?
La Ferme de Pérouti
Proximité de bassins de vie
La ferme de Pérouti se situe dans le Lot-et Garonne (47), Elle est située à La Sauvetat-sur-Lède, à 8 km de Villeneuve-sur-Lot et à 35 minutes d’Agen.
Une diversification en agro-tourisme
C’est une très belle ferme avec une maison rénovée en gîte qui permet de développer l’activité d’agro-tourisme et de faire découvrir le Lot-et-Garonne.
Diversité des cultures et des ateliers
Exploitation en polycultures avec élevage plein air. Projet d'atelier paysan-boulanger transformant céréales en pain et viennoiseries.
Conversion en bio et rotation
David a converti les terres de l'agriculture conventionnelle au BIO, introduisant diverses céréales et une rotation de couverts végétaux.
A la rencontre de
David et Lorraine
Peux-tu nous présenter votre parcours et votre projet à Lorraine et à toi ?

Je m'appelle David, j'ai 35 ans, je suis juriste de formation, j'ai travaillé dans des grands groupes dans les directions juridiques et à l’aube de mes 30 ans, ma fille venait de naître, j’ai eu un tilt. Nous vivions à Paris, mais j’avais un rêve en tête depuis longtemps, restaurer la maison de famille que j’ai rachetée. Nous avons alors fait le choix de revenir dans le Lot-et-Garonne d’où je suis natif pour ce projet qui me tenait à cœur. C’est à ce moment-là que j’ai commencé mon installation de manière progressive. Au début, je n’avais que quelques hectares, j’ai conservé mon activité de juriste, donc j’étais cotisant solidaire en double activité. C’était très intense, la fatigue m’a rattrapé rapidement alors, juste avant le Covid, j'ai démissionné et j’ai débuté mon installation. Quand j’ai eu finalisé mon BPREA et j’ai pu bénéficier de la Dotation Jeune Agriculteur (DJA).

Pourquoi et comment FEVE est intervenu pour le financement ?

Au début, j’avais des bois non cultivables et une cinquantaine d’hectares que j’avais déjà racheté. À côté de cela, j’avais plusieurs prêts à usage sans bail, ce qui rendait ma situation assez précaire. L’agriculteur propriétaire a voulu vendre ces terres que je louais, c’était l’opportunité pour moi de rendre ma situation plus stable. FEVE m'a accompagné sur cette consolidation de foncier qui a permis l'installation de Lorraine par la même occasion

FEVE me libère de l’endettement sur le foncier pour que je puisse me concentrer sur des outils productifs comme un bâtiment de stockage et la partie boulangerie qui est très importante pour nous. En tant qu’amateur de bon pain avec Lorraine, on voulait vraiment aller vers un système autonome. Je trie et je nettoie mes graines, je mouds mon grain, je fais ma farine et je fais mon pain… on veut maîtriser toutes les étapes de la production du champ à l’assiette. Quand on s'est installés, notre objectif était de faire un produit fini. On voulait toucher un produit et dire “Voila, ça ça vient de notre champ.”, aujourd’hui c’est possible.

Avez-vous intégré des principes de vos anciennes vies ?

Sur la ferme, on a envie de faire en sorte que ça soit une aventure humaine exceptionnelle, et ça l’est déjà. Le dimanche soir, j’ai hâte d’être au lundi et ça ne m’était jamais arrivé avant. On a déjà une équipe extraordinaire avec plusieurs salariés répartis sur les différents ateliers et on a mis en place une organisation et une structure pour les suivre et les fidéliser. On leur communique nos attentes et ils nous communiquent les leurs. N’étant pas du milieu agricole, mais plutôt de celui des entreprises de service, on a repris des codes qui nous semblent importants dans la gestion du projet global comme les entretiens individuels.

On travaille beaucoup sur la communication, on a lancé une campagne de financement participatif qui nous a permis de passer dans plusieurs médias. On a bien compris que c’était un levier important pour se faire connaître et trouver des clients, surtout avec la partie boulangerie et le gîte qui sont tournés vers le grand public.

Vous avez aussi un projet de ferme à financer ?

Comme David et Lorraine, envoyez une demande à FEVE pour soumettre votre projet à notre équipe.

À la rencontre de
David et Lorraine
Sur la ferme, on a envie de faire en sorte que ça soit une aventure humaine exceptionnelle, et ça l’est déjà. Le dimanche soir, j’ai hâte d’être au lundi et ça ne m’était jamais arrivé avant.
Peux-tu nous présenter votre parcours et votre projet à Lorraine et à toi ?

Je m'appelle David, j'ai 35 ans, je suis juriste de formation, j'ai travaillé dans des grands groupes dans les directions juridiques et à l’aube de mes 30 ans, ma fille venait de naître, j’ai eu un tilt. Nous vivions à Paris, mais j’avais un rêve en tête depuis longtemps, restaurer la maison de famille que j’ai rachetée. Nous avons alors fait le choix de revenir dans le Lot-et-Garonne d’où je suis natif pour ce projet qui me tenait à cœur. C’est à ce moment-là que j’ai commencé mon installation de manière progressive. Au début, je n’avais que quelques hectares, j’ai conservé mon activité de juriste, donc j’étais cotisant solidaire en double activité. C’était très intense, la fatigue m’a rattrapé rapidement alors, juste avant le Covid, j'ai démissionné et j’ai débuté mon installation. Quand j’ai eu finalisé mon BPREA et j’ai pu bénéficier de la Dotation Jeune Agriculteur (DJA).

Pourquoi et comment FEVE est intervenu pour le financement ?

Au début, j’avais des bois non cultivables et une cinquantaine d’hectares que j’avais déjà racheté. À côté de cela, j’avais plusieurs prêts à usage sans bail, ce qui rendait ma situation assez précaire. L’agriculteur propriétaire a voulu vendre ces terres que je louais, c’était l’opportunité pour moi de rendre ma situation plus stable. FEVE m'a accompagné sur cette consolidation de foncier qui a permis l'installation de Lorraine par la même occasion

FEVE me libère de l’endettement sur le foncier pour que je puisse me concentrer sur des outils productifs comme un bâtiment de stockage et la partie boulangerie qui est très importante pour nous. En tant qu’amateur de bon pain avec Lorraine, on voulait vraiment aller vers un système autonome. Je trie et je nettoie mes graines, je mouds mon grain, je fais ma farine et je fais mon pain… on veut maîtriser toutes les étapes de la production du champ à l’assiette. Quand on s'est installés, notre objectif était de faire un produit fini. On voulait toucher un produit et dire “Voila, ça ça vient de notre champ.”, aujourd’hui c’est possible.

Avez-vous intégré des principes de vos anciennes vies ?

Sur la ferme, on a envie de faire en sorte que ça soit une aventure humaine exceptionnelle, et ça l’est déjà. Le dimanche soir, j’ai hâte d’être au lundi et ça ne m’était jamais arrivé avant. On a déjà une équipe extraordinaire avec plusieurs salariés répartis sur les différents ateliers et on a mis en place une organisation et une structure pour les suivre et les fidéliser. On leur communique nos attentes et ils nous communiquent les leurs. N’étant pas du milieu agricole, mais plutôt de celui des entreprises de service, on a repris des codes qui nous semblent importants dans la gestion du projet global comme les entretiens individuels.

On travaille beaucoup sur la communication, on a lancé une campagne de financement participatif qui nous a permis de passer dans plusieurs médias. On a bien compris que c’était un levier important pour se faire connaître et trouver des clients, surtout avec la partie boulangerie et le gîte qui sont tournés vers le grand public.

Vous avez aussi un projet de ferme à financer ?

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Les pratiques agro-écologiques

Rotation longue et introduction de prairie légumineuses et de couverts végétaux

Une pratique indispensable pour maintenir la fertilité des sols. Un plan de rotation avec différentes cultures de la plus gourmande en azote vers la moins gourmande. Pendant 3 ans, David sème de la luzerne puis entame sa rotation. Ainsi les champs verront passer tout à tour du tournesol, du blé, de l’orge, du seigle, du sarrasin et du petit épeautre.

Pas d’intrants extérieurs

Grâce à cette rotation de cultures, la fertilité des sols est naturelle. Limiter les intrants sur la ferme permet d’amener une véritable autonomie à la ferme et de ne pas dépendre d’acteurs extérieurs dont les prix peuvent suivre les marchés. Les quelques animaux présents sur la ferme sont élevés en plein air et sont utiles pour l’entretien des parcelles non exploitées et des bois.

Production de semences

David produit ses propres semences, il a investi dans une unité de triage avec une fosse qui lui permet de gagner encore un peu plus en autonomie sur son exploitation. Il utilise de nombreuses semences anciennes comme le blé khorasan par exemple qui est une variété qui craint peu la sécheresse.

La Ferme de Pérouti
a cédé sa ferme grâce à FEVE
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Comme , contactez FEVE pour soumettre votre projet à notre équipe.

Rejoignez les investisseurs responsables

Voilà 17 ans que je m’occupe de mon jardin afin de créer de la biodiversité et apprendre ses mécanismes. En soutenant FEVE j’ai voulu participer à un projet plus grand.

Julie V.

Investisseuse chez FEVE

Depuis 2022

Nos investissements doivent faire sens en plus d’être sécurisés pour nos enfants. L’agriculture en France a besoin de se réinventer. FEVE, avec son équipe de top gun, peut y parvenir. Nous sommes donc heureux et fiers de prendre part à cette initiative tout en investissant dans des fermes pleines de potentiel.

Amélie F.

Investisseuse chez FEVE

Depuis 2021

Je voulais soutenir à ma façon les agriculteurs passionnés, qui sont de moins en moins nombreux. L’idée d’investir « en direct », d’être au plus proche des agriculteurs et de savoir comment est utilisé mon investissement (il est certain que de recevoir régulièrement des photos et vidéos de fermes financées par FEVE, met vraiment du baume au cœur 🥰)

Vanille G.

Investisseuse chez FEVE

Depuis 2023

La mission de FEVE

En France, 50% des agriculteurs vont partir à la retraite d’ici 10 ans. FEVE facilite l’installation agricole pour répondre à l’urgence du renouvellement des générations et de la transition écologique.

Nous réalisons notre mission grâce à deux puissants leviers :

  • Notre foncière solidaire qui finance l’achat des fermes grâce à l’épargne citoyenne. Elle permet aux jeunes agriculteurs d’être en location avec option d’achat et de s’installer plus facilement.
  • La Grange, notre plateforme digitale qui permet de construire et concrétiser un projet d’installation viable et durable grâce à des contenus techniques et des outils pratiques.
La carte
des fermes installées
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