La Ferme de Pérouti prend vie avec David et Lorraine. Juriste et infirmière de formation, ils ont décidé de se reconvertir dans l’agriculture. Une installation réfléchie et progressive pour développer cette ferme en grandes cultures avec des semences anciennes et beaucoup de diversification. D’abord en location, David a sollicité la foncière pour acquérir les terres, pérenniser leur exploitation et permettre l’installation de Lorraine.
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Je m'appelle David, j'ai 35 ans, je suis juriste de formation, j'ai travaillé dans des grands groupes dans les directions juridiques et à l’aube de mes 30 ans, ma fille venait de naître, j’ai eu un tilt. Nous vivions à Paris, mais j’avais un rêve en tête depuis longtemps, restaurer la maison de famille que j’ai rachetée. Nous avons alors fait le choix de revenir dans le Lot-et-Garonne d’où je suis natif pour ce projet qui me tenait à cœur. C’est à ce moment-là que j’ai commencé mon installation de manière progressive. Au début, je n’avais que quelques hectares, j’ai conservé mon activité de juriste, donc j’étais cotisant solidaire en double activité. C’était très intense, la fatigue m’a rattrapé rapidement alors, juste avant le Covid, j'ai démissionné et j’ai débuté mon installation. Quand j’ai eu finalisé mon BPREA et j’ai pu bénéficier de la Dotation Jeune Agriculteur (DJA).
Au début, j’avais des bois non cultivables et une cinquantaine d’hectares que j’avais déjà racheté. À côté de cela, j’avais plusieurs prêts à usage sans bail, ce qui rendait ma situation assez précaire. L’agriculteur propriétaire a voulu vendre ces terres que je louais, c’était l’opportunité pour moi de rendre ma situation plus stable. FEVE m'a accompagné sur cette consolidation de foncier qui a permis l'installation de Lorraine par la même occasion
FEVE me libère de l’endettement sur le foncier pour que je puisse me concentrer sur des outils productifs comme un bâtiment de stockage et la partie boulangerie qui est très importante pour nous. En tant qu’amateur de bon pain avec Lorraine, on voulait vraiment aller vers un système autonome. Je trie et je nettoie mes graines, je mouds mon grain, je fais ma farine et je fais mon pain… on veut maîtriser toutes les étapes de la production du champ à l’assiette. Quand on s'est installés, notre objectif était de faire un produit fini. On voulait toucher un produit et dire “Voila, ça ça vient de notre champ.”, aujourd’hui c’est possible.
Sur la ferme, on a envie de faire en sorte que ça soit une aventure humaine exceptionnelle, et ça l’est déjà. Le dimanche soir, j’ai hâte d’être au lundi et ça ne m’était jamais arrivé avant. On a déjà une équipe extraordinaire avec plusieurs salariés répartis sur les différents ateliers et on a mis en place une organisation et une structure pour les suivre et les fidéliser. On leur communique nos attentes et ils nous communiquent les leurs. N’étant pas du milieu agricole, mais plutôt de celui des entreprises de service, on a repris des codes qui nous semblent importants dans la gestion du projet global comme les entretiens individuels.
On travaille beaucoup sur la communication, on a lancé une campagne de financement participatif qui nous a permis de passer dans plusieurs médias. On a bien compris que c’était un levier important pour se faire connaître et trouver des clients, surtout avec la partie boulangerie et le gîte qui sont tournés vers le grand public.
Je m'appelle David, j'ai 35 ans, je suis juriste de formation, j'ai travaillé dans des grands groupes dans les directions juridiques et à l’aube de mes 30 ans, ma fille venait de naître, j’ai eu un tilt. Nous vivions à Paris, mais j’avais un rêve en tête depuis longtemps, restaurer la maison de famille que j’ai rachetée. Nous avons alors fait le choix de revenir dans le Lot-et-Garonne d’où je suis natif pour ce projet qui me tenait à cœur. C’est à ce moment-là que j’ai commencé mon installation de manière progressive. Au début, je n’avais que quelques hectares, j’ai conservé mon activité de juriste, donc j’étais cotisant solidaire en double activité. C’était très intense, la fatigue m’a rattrapé rapidement alors, juste avant le Covid, j'ai démissionné et j’ai débuté mon installation. Quand j’ai eu finalisé mon BPREA et j’ai pu bénéficier de la Dotation Jeune Agriculteur (DJA).
Au début, j’avais des bois non cultivables et une cinquantaine d’hectares que j’avais déjà racheté. À côté de cela, j’avais plusieurs prêts à usage sans bail, ce qui rendait ma situation assez précaire. L’agriculteur propriétaire a voulu vendre ces terres que je louais, c’était l’opportunité pour moi de rendre ma situation plus stable. FEVE m'a accompagné sur cette consolidation de foncier qui a permis l'installation de Lorraine par la même occasion
FEVE me libère de l’endettement sur le foncier pour que je puisse me concentrer sur des outils productifs comme un bâtiment de stockage et la partie boulangerie qui est très importante pour nous. En tant qu’amateur de bon pain avec Lorraine, on voulait vraiment aller vers un système autonome. Je trie et je nettoie mes graines, je mouds mon grain, je fais ma farine et je fais mon pain… on veut maîtriser toutes les étapes de la production du champ à l’assiette. Quand on s'est installés, notre objectif était de faire un produit fini. On voulait toucher un produit et dire “Voila, ça ça vient de notre champ.”, aujourd’hui c’est possible.
Sur la ferme, on a envie de faire en sorte que ça soit une aventure humaine exceptionnelle, et ça l’est déjà. Le dimanche soir, j’ai hâte d’être au lundi et ça ne m’était jamais arrivé avant. On a déjà une équipe extraordinaire avec plusieurs salariés répartis sur les différents ateliers et on a mis en place une organisation et une structure pour les suivre et les fidéliser. On leur communique nos attentes et ils nous communiquent les leurs. N’étant pas du milieu agricole, mais plutôt de celui des entreprises de service, on a repris des codes qui nous semblent importants dans la gestion du projet global comme les entretiens individuels.
On travaille beaucoup sur la communication, on a lancé une campagne de financement participatif qui nous a permis de passer dans plusieurs médias. On a bien compris que c’était un levier important pour se faire connaître et trouver des clients, surtout avec la partie boulangerie et le gîte qui sont tournés vers le grand public.
Voilà 17 ans que je m’occupe de mon jardin afin de créer de la biodiversité et apprendre ses mécanismes. En soutenant FEVE j’ai voulu participer à un projet plus grand.
Julie V.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2022
Nos investissements doivent faire sens en plus d’être sécurisés pour nos enfants. L’agriculture en France a besoin de se réinventer. FEVE, avec son équipe de top gun, peut y parvenir. Nous sommes donc heureux et fiers de prendre part à cette initiative tout en investissant dans des fermes pleines de potentiel.
Amélie F.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2021
Je voulais soutenir à ma façon les agriculteurs passionnés, qui sont de moins en moins nombreux. L’idée d’investir « en direct », d’être au plus proche des agriculteurs et de savoir comment est utilisé mon investissement (il est certain que de recevoir régulièrement des photos et vidéos de fermes financées par FEVE, met vraiment du baume au cœur 🥰)
Vanille G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023