
À Pimbo, au cœur des Landes, Juliette installe une ferme ovine en système extensif sur 46 ha et ouvre des gîtes pour accueillir visiteurs et pèlerins de Saint-Jacques. Fille d’éleveurs, elle mise sur l’herbe, l’autonomie fourragère et le bien-être animal : des brebis dehors, au pâturage. Sa ferme est toute proche de celle de son compagnon, Paul. De quoi mutualiser les ateliers et gagner en souplesse au quotidien. Le projet s’inscrit aussi dans la préservation du vivant : un espace de la ferme protège deux espèces de papillons protégées.
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Je voulais au départ travailler avec les animaux sauvages. J’ai fait un lycée pro TCVA (Technicien Conseil‑Vente en animalerie), puis un BTS Productions animales par apprentissage en élevage ovin : c’est là que j’ai tout appris. J’avais déjà de bonnes bases, j’ai grandi chez mes parents éleveurs de Suffolks en extensif. Ensuite, j’ai réalisé mon rêve : cinq ans soigneuse animalière en parcs zoologiques (oiseaux, puis carnivores et primates). Puis cette année, j’ai quitté mon poste pour m’installer officiellement comme agricultrice.
J’aurai mon élevage ovin extensif à Pimbo, avec de la vente directe, et j’aurai développé mon gîte à la ferme. Je prévois d’y mettre une petite ferme pédagogique avec des races locales (poules landaises, dindons gascons, canards landais ; à terme oies landaises, lapins landais, et un âne des Pyrénées) pour accueillir le public. La petite anecdote c’est que j’isole le gîte avec la laine de mes brebis : un matériau on ne peut plus local et c’est super efficace ! Le lieu de la ferme est sur le chemin de Saint‑Jacques et en face d’un domaine de mariage, donc c’est idéal pour l’agritourisme.
Avec mon compagnon, nous sommes amis avec Camille et Raphaël de la Ferme de Magnantru. Ce sont eux qui m’ont parlé de FEVE. On s’est ensuite rencontrés au Sommet de l’Élevage et tout est allé très vite ! Le soutien de FEVE a été primordial : la banque nous a dit que sans FEVE, elle n’ouvrait pas le dossier. Sans eux, ce n’était pas viable.


Je voulais au départ travailler avec les animaux sauvages. J’ai fait un lycée pro TCVA (Technicien Conseil‑Vente en animalerie), puis un BTS Productions animales par apprentissage en élevage ovin : c’est là que j’ai tout appris. J’avais déjà de bonnes bases, j’ai grandi chez mes parents éleveurs de Suffolks en extensif. Ensuite, j’ai réalisé mon rêve : cinq ans soigneuse animalière en parcs zoologiques (oiseaux, puis carnivores et primates). Puis cette année, j’ai quitté mon poste pour m’installer officiellement comme agricultrice.
J’aurai mon élevage ovin extensif à Pimbo, avec de la vente directe, et j’aurai développé mon gîte à la ferme. Je prévois d’y mettre une petite ferme pédagogique avec des races locales (poules landaises, dindons gascons, canards landais ; à terme oies landaises, lapins landais, et un âne des Pyrénées) pour accueillir le public. La petite anecdote c’est que j’isole le gîte avec la laine de mes brebis : un matériau on ne peut plus local et c’est super efficace ! Le lieu de la ferme est sur le chemin de Saint‑Jacques et en face d’un domaine de mariage, donc c’est idéal pour l’agritourisme.
Avec mon compagnon, nous sommes amis avec Camille et Raphaël de la Ferme de Magnantru. Ce sont eux qui m’ont parlé de FEVE. On s’est ensuite rencontrés au Sommet de l’Élevage et tout est allé très vite ! Le soutien de FEVE a été primordial : la banque nous a dit que sans FEVE, elle n’ouvrait pas le dossier. Sans eux, ce n’était pas viable.



MERCI à FEVE d'exister. Cela nous permet d'investir pour soutenir l'un des plus beaux métiers du monde, en accélérant la transition écologique et préservant notre biodiversité, tout en favorisant l'autonomie alimentaire de notre pays. Que de bonnes causes ! Investir dans la foncière FEVE, c'est un réel plaisir et ça procure un bon bol d'espoir pour l'avenir.
Marjorie H.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023

Sensibilisé aux enjeux climatiques, je connais l'importance du secteur agricole dans la transition écologique et souhaitais y contribuer à mon échelle. Grâce à FEVE, mon argent permet aux agriculteurs de réduire leurs impacts environnementaux, et de garantir la souveraineté alimentaire de la France.
Benoît R.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023


J’ai participé à un apéro FEVE, bien qu’appréhendant un peu une soirée investisseurs… Je me disais: ”il ne va y avoir que des banquiers en cravate”, et bien non… Quelle agréable surprise de voir la présence d’agriculteurs, mais aussi de petits investisseurs avec des paroles simples : « Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. »
Christophe B.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023
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